5 Questions à Camille Serme

 

 

 

 

 

Oui en effet je ne peux malheureusement pas participer à votre événement car les points à gagner ne sont pas en rapport avec mon classement. Mais j’espère que le succès rencontré va se poursuivre afin de devenir un tournoi de plus en plus gros. Tous les joueurs qui y ont participé ne m’en disent que du bien : une ambiance incroyable, une organisation impeccable et des lieux exceptionnels chaque année ! Cela est très positif pour le squash en France !

 

Pour ma part, c’est le fait que ce soit un jeu avant tout. C’est un sport très ludique, il ne faut pas perdre de vue cette notion. Je pense que Lucas et moi y trouvons beaucoup d’aspects positifs : que ce soit sur le plan physique, mental ou encore stratégique. C’est un sport complet et très addictif !

 

Je reviens justement d’une semaine en Arménie et en Ukraine avec la fédération mondiale afin de promouvoir le squash dans des pays où il n’est pas encore très développé. C’était une superbe expérience et j’ai adoré avoir ce rôle d’ambassadrice aux côtés du champion Ramy Ashour. C’était un honneur ! Et oui en effet, j’ai plaisir à faire la promotion de ce sport que j’aime tant. Je veux partager et transmettre cette passion !

 

Oui, je pense réellement que le squash a les qualités requises pour entrer aux J.O. Le court vitré placé au pied d’un monument iconique apporterait un côté spectaculaire et inédit aux Jeux. Honnêtement je ne comprends pas pourquoi nous ne sommes pas déjà dans cette famille olympique. Le monde du sport est aussi très politique et il est difficile d’avoir le dernier mot.

 

J’aimerai beaucoup participer à l'Open International de Squash de Nantes si le calendrier le permet. En effet, cette année, le tournoi tombait au même moment que le championnat du monde par équipe. Il a donc fallu faire des choix mais j’espère que ce n’est que partie remise.