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Théâtre graslin
5 au 9 septembre 2018
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5 Questions à Nele Gilis

5 Questions à Nele Gilis
Publié le vendredi 31 août 2018
 
 
Nous avons posé 5 questions à Nele Gilis (BEL) - N°1 belge, N°33 mondiale et tête de série N°4 l'open :
 
 
 
1. Nele, l’année dernière, tu as perdu en finale de l’Open face à Fiona Moverley. Gardes-tu tout de même un bon souvenir de ta participation à cet événement ?
Nantes reste l’un des meilleurs tournois PSA auquel j’ai participé jusqu’ici. Le fait que je fasse un très bon tournoi joue un rôle important, je n’avais jamais joué devant un tel public, c’était incroyable. L’endroit était fabuleux et je suis très impatiente de découvrir ce que les organisateurs nous réservent cette année.
 
2. Tu voyages partout dans le monde pour participer à des tournois. Qu’est-ce qui fait de l’Open de Nantes un événement différent des autres ?
Le public, l’endroit. Nantes est le seul endroit où l’on peut ressentir de telles émotions.
 
3. Est-ce que tu reviens pour soulever le trophée cette année ? Quels sont tes objectifs cette saison ?
 Je vais revenir plus fort que l’année passée. Cette saison, j’aimerais atteindre le top 20 mondial. Je vais y aller étape par étape et voir comment cela évolue.
 
4. Sur les réseaux sociaux, on voit que tu attaches beaucoup d’importance au côté physique du squash. Comment vas-tu faire en sorte d’être prête pour septembre ?
Je passe une partie importante de mon été à travailler ma puissance, ma force et mon endurance. J’adore m’entraîner en dehors du court autant que sur le court !
 
5. Comment vois-tu le squash féminin évoluer dans les prochaines années ? Se développe-t-il aussi rapidement que le squash masculin ?
Des événements comme Nantes qui mettent autant en avant le jeu féminin et le jeu masculin font beaucoup de bien au squash féminin mais aussi à notre sport. Le circuit féminin n’a jamais été aussi compétitif qu’aujourd’hui et ce n’est pas prêt de s’arrêter.
 
Question Bonus : Est-ce que tu penses souvent aux Jeux Olympiques ?
Oui ! Je nous y imagine sans arrêt. Surtout aujourd’hui que le squash a une bonne chance d’être présent aux Jeux de Paris 2024.

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